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Les acouphènes sont des bruits et des sons non générés par l’extérieur, c’est une perception involontaire dans l’oreille.
Les acouphènes touchent un nombre croissant d’individus chaque année. C’est pourquoi la sophrologie s’est intéressée aux impacts psychologiques de l’individu souffrant d’acouphènes.
Elle permet de diminuer les répercussions émotionnelles, la fatigue, le stress, de mieux vivre avec en défocalisant l’attention portée à la gêne et à la douleur.

Je vous propose différents accompagnements et les exercices sont personnalisés et adaptés à vos capacités physiques :

• l’habituation : améliorer progressivement la tolérance à l’acouphène, retrouver du bien-être dans sa vie de tous les jours
• les prothèses auditives : vivre sereinement avec sa prothèse
• les personnes isolées : reprendre du plaisir à être en groupe ou à l’extérieur
• les troubles de l’humeur : maintenir durablement un équilibre émotionnel
• l’hyperacousie : vivre paisiblement les bruits environnants en évacuant les appréhensions du bruit
• le sommeil : avoir un sommeil de qualité, apprendre à se détendre et reprendre confiance dans sa capacité à dormir
• la maladie de Ménière : apprendre à évacuer son anxiété et gérer sereinement les crises

Les acouphéniques sont très sensibles aux bruits et au stress. Plus ils focalisent sur leurs acouphènes, plus ils risquent de stresser et plus ils stressent, plus les acouphènes risquent de s’amplifier.

Ils se sentent bien souvent incompris.

Ce qui entraine des insomnies, fatigue, idées noires, isolement, souffrance mentale.

Ils sont souvent découragés car peu de médicaments les apaisent. Je travaille d’ailleurs avec plusieurs ORL et leur communique les évolutions.

Je les encourage à ne pas lâcher, à tenir bon jusqu’à trouver la sérénité, à pratiquer les exercices en inter-séances. Seules conditions pour les oublier.

L’accompagnement consiste surtout à gérer le stress, à se détendre, à se mettre en confiance, à prendre conscience de ses capacités et à devenir autonomes.